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Amitié franco-allemande : honneur aux « héros du quotidien » (2014)

Madame l’ambassadeur Susanne Wasum-Rainer avec les lauréats © CIDAL

Madame l’ambassadeur Susanne Wasum-Rainer avec les lauréats, © CIDAL

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Ils sont enseignants, fonctionnaires ou journalistes. Et tous les jours, ils s’efforcent de construire des ponts entre la France et l’Allemagne.

Pour offrir une reconnaissance à l’engagement trop souvent ignoré de ces « héros du quotidien », l’ambassadeur d’Allemagne en France, Mme Susanne Wasum-Rainer, a décerné à sept d’entre eux le Prix de l’Amitié franco-allemande.

La cérémonie s’est déroulée mardi 9 septembre au Centre d’information de l’ambassade d’Allemagne (CIDAL) en présence de plus de cinquante invités.

Elle a récompensé Mme Geneviève Abily (ancienne secrétaire de la cellule diplomatique de Matignon et assistante du conseiller allemand du Premier ministre), M. Daniel Petit (haut fonctionnaire de l’Assemblée nationale), Mme Laëtitia Hovine (chargée des relations franco-allemandes au ministère français de l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, ainsi qu’au ministère du Logement et de l’Égalité des territoires), M. Stéphane Pesnel (maître de conférence en études germaniques à l’Université de Paris IV-Sorbonne), Mme Petra Hall (journaliste, fondatrice du mensuel germanophone « Riviera Côte d’Azur Zeitung  »), Mme Nawelle Rouibi (professeur d’allemand à Toulouse) et Mme Fabienne Bourdillat (professeur d’allemand à Sceaux).

Les horizons professionnels très divers des lauréats illustraient le fait qu’il est possible de servir l’amitié franco-allemande de mille et une manières.

Chacun a exprimé sa gratitude à sa manière. L’émotion était palpable. L’enthousiasme pour la « cause » franco-allemande et la construction européenne aussi.

Mme Wasum-Rainer a souligné le rôle essentiel de ce « socle » de l’amitié franco-allemande situé au cœur de la société civile, sur lequel il est possible de s’appuyer en toutes circonstances.

Elle a réaffirmé sa conviction : l’amitié franco-allemande a été le moteur de l’Europe, elle le demeure et le sera encore demain. Néanmoins, a-t-elle ajouté, « nous le savons tous : cette amitié reste fragile sans une meilleure compréhension mutuelle et sans liens humains pour l’entretenir  ».

A.L.

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