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Point de presse du chancelier fédéral au Kazakhstan - Renforcer le partenariat étendu

Le chancelier fédéral Olaf Scholz avec le président kazakh Kassym Jomart Tokaïev à Astana : « L’Asie centrale joue un rôle de plus en plus important. »

Le chancelier fédéral Olaf Scholz avec le président kazakh Kassym Jomart Tokaïev à Astana : « L’Asie centrale joue un rôle de plus en plus important. », © Gouvernement fédéral /Marvin Ibo Güngör

18.09.2024 - Article

L’Allemagne et le Kazakhstan sont unis par un partenariat très étendu, a déclaré Olaf Scholz lors de sa visite à Astana. La Russie peut à tout moment contribuer à mettre fin à la guerre contre l’Ukraine en cessant son agression, a souligné le chancelier.

« L’Asie centrale joue un rôle de plus en plus important et il est donc essentiel que l’Allemagne, en tant que grand pays au cœur de l’Europe, soit un partenaire pour les pays d’Asie centrale, y compris un partenaire économique. » C’est ce qu’a déclaré Olaf Scholz à l’issue d’une rencontre avec le président Kassym Jomart Tokaïev dans la capitale kazakhe Astana.

Le chancelier fédéral a qualifié ses échanges menés au Kazakhstan de très bons. Ils sont d’une importance cruciale pour le futur du Kazakhstan ainsi que pour le développement économique de l’Allemagne.

L’essentiel en bref du point de presse du chancelier fédéral :

  • Consolider les relations économiques : avec le président Kassym Jomart Tokaïev, le chancelier fédéral a évoqué les possibilités d’utilisation de matières premières critiques présentes au Kazakhstan et à l’extraction desquelles l’Allemagne peut aider grâce à son savoir-faire technologique. Il a également été question de l’approvisionnement allemand en pétrole brut, en particulier celui de la raffinerie PCK de Schwedt.
  • Guerre de la Russie contre l’Ukraine : il reste essentiel de sonder les moyens de favoriser une évolution pacifique, a affirmé le chancelier fédéral. Les formats de discussion comme notamment la conférence de Bürgenstock en Suisse ont abouti à ce bilan commun : une nouvelle conférence incluant la Russie s’impose. Quelle que soit la discussion, il faut toujours garder une chose à l’esprit : « C’est la Russie qui a non seulement commencé la guerre mais qui la poursuit et pourrait à tout moment contribuer à y mettre fin en cessant son agression. »
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